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BREUNING, S. (1943), Beitrag zur wertung der genschlenchtsorgane für die systematik, in Zeitschuft für Morphologie und Ökologiel dei Tiere, t. 39: 523-524.VÉASE TRADUCCIÓN de la pag. 523, y pag.524VÉASE TRADUCCIÓN AL FRANCÉS DEL ARTÍCULO COMPLETO DE BREUNING (1943)
DANIEL, K.& J. (1898) Dorcadion seguntianum, Coleopteren-Studien, II. Munchen: 78-79
VÉASE TRADUCCIÓN pags. 78, 79
VÉASE TRADUCCIÓN pags. 146, 148
BREUNING, S. (1943) Beitrag zur wertung der genschlenchtsorgane für die systematik, in Zeitschuft für Morphologie und Ökologiel dei Tiere, t. 39: 523-524.INICIO
TRADUCCIÓN pag. 523Ensayo sobre la evaluación del valor de los organos genitales en sistemática
En relación con el interés en sistemática del estudio de las partes quitinizadas de las genitalia he tratado aquí de experimentar con el género Dorcadion DALM (Cerambycini), del que la colección O.VOGTS contiene una rica muestra. El género Dorcadion comprende 300 especies repartidas por Europa central y meridional, por Marruecos y por Asia ocidental y central. A pesar de su area de repartición tan compleja, sin embargo se diferencia unos de otros por caracteres estructurales relativamente sutiles. Hasta ahora se les divide en tres subgéneros, de los que dos de ellos no están rigurosamente delimitados y el tercero comprende una sola especie.
El estudio se revela vano en las hembras. Las piezas quitinizadas están en las hembras en una especie de vagina de estructura primitiva no mostrando ningún carácter constante notable. Se puede concluir que en los Dorcadion una imposibilidad de cópula entre formas muy vecinas, debida a una diferencia de constitución del organo copulador externo, no puede ser tenido en consideración. Otras causas deben burcarse para explicar la gran diversidad de especies en este género, entre las cuales la ausencia de alas y la duración de vida de los adultos relativamente corta, no son más que una parte, quizás insignificante.
Por el contrario las partes quitinizadas de la genitalia de los machos presentan una relativa constancia. Quando en algunos casos existen diferencias específicas, estas no son solo de una conformación muy constante, y aún para un cierto número de entre ellas casi idénticas. Si de aquí se deduce la diferenciación y si se reunen los tipos de construcción idéntica, entonces se puede establecer varios subgrupos (Subgenera) bien definidos que se imponen como naturales, presentándose como homogéneos por su extensión geográfica y por su aspecto exterior general.
INICIO Se debe considerar finalmente la redacción de una revisión global del género Dorcadion. Aquí estarían solamente sucintamente caracterizados los grupos por el simple examen del pene.
1. Subgenus: Iberodorcadion nov.
Pene estrecho, con lados paralelos, nada o muy poco acortado antes del final, extremo apical bastante redondeado (en medio de este redondeo rara vez una ligera entalladura), láminas inferiores sin desbordar.
Tipo fuliginator L.
De este grupo forman parte fuliginator L., molitor F., atlantis BED. asi como todas las especies de la Península Ibérica; forman un grupo natural, bien delimitado en su area de repartición geográfica, que se extiende desde Alemania central y occidental, por Francia, España y Portugal hasta Marruecos; en cuanto a la morfología externa no se conoce ningún carácter que pueda separar el conjunto de este grupo de las otras especies.
2. Subgenus: Carinatodorcadion nov.
pag. 525
3. Subgenus: Maculatodorcadion nov.
4. Subgenus: Cribridorcadion PIC
5. Subgenus: Dorcadion DALM. s. str.
pag. 526
6. Sugenus: Pedestredorcadion nov.
TRADUCCIÓN AL FRANCÉS DEL ARTICULO COMPLETO DE BREUNING (1943)
Essai sur l’évaluation de la valeur des organes génitaux en systématique
Concernant l’intérêt en systématique de l’étude des parties chitinisées des genitalia, j’ai tenté ici de l’expérimenter chez le genre Dorcadion, dont la collection O. VOGTS renferme un riche échantillonage.
Le genre Dorcadion comprend en gros 300 espèces réparties en Europe moyenne et méridionale, au Maroc et en Asie occidentale et centrale. Malgré leur grande aire de répartition si complexe, ils sont pourtant différenciés les uns des autres par des caractères structurels relativement subtils. Jusqu’à maintenant on les divise en 3 sous-genres, dont deux d’entre eux ne sont pas rigoureusement délimités, le 3ème ne comprenant qu’une seule espèce.
L’étude se révèle vaine chez les femelles. Chez celles-ci les pièces chitinisées se trouvent uniquement dans une sorte de vagin de structure passablement primitive ne montrant pas de différences constantes notables. On peut conclure que chez les Dorcadions une impossibilité d’accouplement entre formes très voisines, due à une différence de constitution de l’organe copulateur externe, ne peut être pris en considération. D’autres causes doivent être recherchées pour expliquer la grande diversité d’espèces dans ce genre, parmi lesquelles l’absence d’ailes et la durée de vie relativement courte des adultes n’ont seulement qu’une part – peut-être insignifiante.
Par contre les pièces chitinisées des genitalia mâle présentent une relative constance. Bien qu’il existe dans certains cas des différences spécifiques, elles sont non seulement très constantes dans une même espèce, mais encore quasi identique chez un certain nombre d’espèces vraisemblablement sans grande parenté. Cependant, si l’on suit les différences en rassemblant les types de structure similaire, on parvient à établir plusieurs groupes d’espèces (sous genres) bien délimités, qui se révèlent « naturels » quand on peut les présumer « homogènes » en se basant sur leur répartition et sur leur aspect extérieur général.
On doit envisager in fine la rédaction d’une révision globale du genre Dorcadion. Ici seront seulement succinctement caractérisés les groupes par le simple examen du pénis.
1 – Subgenus: Iberodorcadion nov.
Pénis étroit, à cotés parallèles, non rétrécis ou très peu avant l’extrémité, extrémité apicale obtusément à largement arrondie (au milieu de cet arrondi très rarement seulement une légère encoche), lame inférieure non saillante.
Type fuliginator L.
Dans ce groupe prennent place fuliginator L., molitor F., atlantis BED. ainsi que toutes les espèces de la péninsule ibérique ; ils forment un groupe naturel, bien délimité dans son aire de répartition géographique, qui s’étend de l’Allemagne centrale et occidentale jusqu’au Maroc en passant par la France, l’Espagne et le Portugal ; en ce qui concerne la morphologie externe on ne connaît aucun caractère qui puisse séparer l’ensemble de ce groupe des autres espèces.2 – Subgenus: Carinatodorcadion nov.
Pénis large, non ou seulement très faiblement rétréci à l’extrémité apicale, apex très largement arrondi (bien souvent avec une échancrure plus ou moins arquée au milieu de cet arrondi ), lame inférieure non saillante.
Type carinatum PALL.
Ici se placent carinatum PALL., aethiops SCOP., maderi BREIT, sterbai BREUN., hybridum GANGLB., hedwigae JUR., fulvum SCOP. et cervae FRIV. Ils sont en général très voisins les uns des autres et forment un groupe naturel fermé. Ils se répartissent depuis l’est du Caucase jusqu’à l’Autriche et le nord de l’Italie, en passant par la Russie méridionale, la Roumanie et la Pologne .3 – Subgenus: Maculatodorcadion nov.
Pénis large à la base, modérément rétréci vers l’apex, moyennement arrondi au sommet (sans sinuosité au milieu de cet arrondi), la lame inférieure très largement arrondie, la lame supérieure débordant notablement sur les cotés.
Type quadrimaculatum KÜST.
Seulement 2 espèces de Grèce et de la partie occidentale de l’Asie mineure, quadrimaculatum KÜST. et triste FRIV. dont les femelles sont très proches les unes des autres.4 – Subgenus: Cribridorcadion PIC.
Pénis large, modérément rétréci à l’extrémité, assez largement arrondi à l’apex (sans sinuosité au milieu de cet arrondi), la lame inférieure non débordante.
Type mniszechi KR.
Une seule espèce d’Arménie et Asie mineure, qui surtout chez le mâle surprend par la structure particulière des élytres et par conséquent a été érigée depuis déjà des années comme seul représentant d’un sous genre propre.5 – Subgenus: Dorcadion DALM. s. str.
Pénis très large, fortement et régulièrement rétréci vers l’apex à partir de la base, fortement incurvé vers le haut, pointe apicale assez étroite, émoussée (non tronquée), la lame inférieure non saillante.
Type glycyrrhizae PALL. (nec THOMS.) synonyme s.g. Compsodorcadion GANGLB.
Ici se placent toutes les espèces qui étaient auparavant réunies dans le sous-genre Compsodorcadion et aussi celles qui se distinguent par une pubescence des premiers articles antennaires, ainsi que les suivants, seulement éparsément tomenteuse (chez les espèces de tous les autres groupes les premiers articles antennaires ainsi que les suivants sont couverts d’une épaisse pubescence) ; il est vrai que ce caractère varie dans une certaine mesure et ne suffit pas pour une bonne détermination (chez validipes JAK. par exemple les premiers articles antennaires sont souvent aussi pubescents que chez les espèces des autres groupes). Dans ce cas la forme du pénis constitue donc un précieux complément.
Ces espèces se trouvent du sud de la Russie jusqu’à la Dsungarie.6 – Subgenus : Pedestredorcadion nov.
Pénis large à la base, moins à l’extrémité, mais toujours fortement rétréci, apex émoussé à pointu (sans sinuosité), les lames inférieures non débordantes.
Type pedestre PODA.
Ici se regroupent toutes les autres espèces qui sont réparties du sud de l’Allemagne jusqu’au sud de la Russie, vers le sud en Calabre, dans les Sporades, le Liban et le Kurdistan, vers l’est jusqu’au Turkestan.Ainsi, contrairement à ce qu’on observe chez les autres genres, le pénis constitue dans le genre Dorcadion un caractère utile pour séparer les sous-genres, mais insuffisant pour la différenciation des espèces.
DANIEL, K.& J. (1898) Dorcadion seguntianum, Coleopteren-Studien, II. Munchen: 78-79
18. D o r c a d i o n s e g u n t i a n u m, nob. n. sp., símbolo macho: Elongatum, nigrum, antennis pedibusque rufo-brunneis, supra brunneo tomentosum, signatura vel albida vel ochracea maximam partem vittatim disposita ornatum, subtus cinereo-pubescens, linea mediana capitis prothoracisque, in hoc callis lateralibus duobus oblongis, in elytris vitta intramarginali saepeque dorsali et margine suturali tenuísimo calvis; fronte et vértice dense albido, Inter. Antenas laete ochraceo-tomentosis, linea mediana nítida evidenter sulcata divisis; prothorace basis latitudine aequilongo, lateraliter acute spinoso, lateribus albo-tomentoso, spatiis Inter. vittam medianam politam, haud vel vix sulcatam et calla longitudinaliter bivittatis (vitta interiore alba, altera exteriore ochracea), punctis magnis denudatis singulis in tomento dispersis; scutello albopubescente, linea mediana glabra dimidiato; elytris angustis, subcylindricis, costa dorsali conspicua (ut vitta calva intrmarginalis fortiter punctata), plerumque denudata et pone médium evanescente instructis et fasciis 4 albis signatis: suturali et marginali integris, humerali completa et dorsali abbreviata omnino partimve in maculis dissolutis.
Símbolo hembra: Magis ampliatum, prothorace latiore, etiam vitta humerali dorsalique integris, hac retrorsum magis prolongata. Long.: 11½-14 mm."
TRADUCCIÓN del texto en alemán realizada por Kati Mäder (pags. 78,79)
Esta especie bastante llamativa a causa de sus vivos contrastes de color se caracteriza por el diseño claro de las bandas que tienden a deshacerse en una fila de puntos irregular, así como por la aparición de una banda intramarginal grabra y una banda dorsal que está por lo menos indicada. Parecido al D.Graellsi Grlls.,más plano, la costilla mediana saliente que comienza en el espacio intrahumeral se alarga más allá del centro. En contraste con esta especie, la cabeza y el protórax están cubiertos por un denso tomento, la banda mediana más fina y, particularmente, las callosidades laterales menos extensos dejan más espacio a la pubescencia. Esta es muy densa en el protórax entre los espacios desnudos, y en la frente ocre o de un color amarillento. El resto de la cabeza y también el borde de la banda mediana y lisa del protórax, así como el espacio exterior de las callosidades laterales son blanquecinos. El tomento fundamental de los élitros es pardo claro u oscuro.Las bandas blancas claramente marcadas en las hembras están bien sea delimitadas irregularmente o deshechas en una fila de puntos; así que el aspecto general se diferencia de los demás Dorcadion españoles, con sus bandas claras que están bien delimitadas. Seguntianum se distingue de D.Uhagoni Perez y de Martinezi Perez, aparte de la puntuación, por las callosidades laterales del protórax que en esas especies faltan totalmente o están solamente indicados. D.alternatum Chevr. tiene la banda central del protórax profundamente asurcada y la banda marginal de los élitros es muy delgada, además a esta especie le falta la costilla dorsal.
Siguenza en Castilla (Korb,17.3.87)
Danilevsky M.L., Kasatkin D.G. & Rubenyan A.A. (2004) Revision of the taxonomic structure of the tribe Dorcadionini (Coleoptera, Cerambycidae) on the base of endophallic morphology ; Russian Entomol. J. Vol.13 (2004). No.3. P.127–149. Consultado en noviembre 2008: http://www.cerambycidae.net/articles_danilevsky_2004.htm
pag.134
pag.135
pag.146
pag.148
TRADUCCIÓN del texto al español (pags. 146,148)
En general la morfología del endofalo indica bien los límites de todos los géneros de Dorcadionini (mucho mejor que los caracteres de los imagos y larvas): Neodorcadion, Eodorcadion, Dorcadion e Iberodorcadion. Por tanto, las divisiones genéricas de los Dorcadionini deben ser aceptadas como muy naturales .. (p.146)
Los caracteres del endofalo de los subgéneros de Iberodorcadion (s.str., Baeticodorcadion, Hispanodorcadion) deben ser tomados como preliminales a causa del pequeño número de especies analizadas. (p.148)
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